Elles visent à améliorer une intervention primaire réussie. Elles ne demandent pas de procédés complexes et se font le plus souvent avec plaisir.
La retouche peut être définie par tout ce qui est fait sous anesthésie locale, facilement et rapidement pour parfaire le résultat.
Ces petits gestes qui apportent souvent la touche finale pour gommer le caractère imparfait de la première intervention de chirurgie esthétique sont essentiels. Ce sont des gestes légers, faits sans immobilisation, que tout chirurgien consciencieux souhaite autant que le patient, car ils corrigent un défaut minime qui peut gâcher inutilement un bon résultat déjà acquis.
Ces gestes, loin d’être l’aveu d’un échec opératoire, ne sont bien souvent que la recherche de la « perfection » ou du moins de la plus belle qualité de résultat. Ils ne remettent pas en cause la structure générale de l’intervention et sont dans la grande majorité des cas, facilement compris et admis par les patients.
C’est le petit quelque chose qui assombrit inutilement un bon travail et qu’il ne faut pas conserver. L’IIR le sait et fera tout pour satisfaire son patient. Quelques fois il suggérera lui-même la retouche alors que le patient n’est pas forcement demandeur.
Ces retouches sont faites en temps voulu dans le suivi de l’évolution. Ce moment dépend de la résorption des œdèmes et de l’établissement jusqu’à la récupération de la souplesse. Les périodes d’amélioration sont quelques fois plus longues que prévues et rien ne sert de se précipiter pour faire une retouche inutile que seul le temps aurait pu corriger.
Ces retouches sont faites gratuitement à l’IIR. Elles font partie du suivi et sont inscrites dans le contrat préopératoire.